[Mission] Prologue

Terry Jownes, Colonel de l'armée de l'air américaine, se dirigeait vers le SGC. D'après les informations qu'on lui avait fourni, le SGC voudrait lui confier la direction d'une mission d'exploration longue durée. Super. Maintenant que tous les grands ennemis de la Terre avaient vu leur derrière botté en bonne et due forme, voilà qu'on mettait les soldats au placard. Sûrement une décision de civil incompétent...

* Saleté de CIS... *

Le voilà qui arrivait devant l'ascenseur bien connu qui l'emmènerait au niveau sous-terrain 27, vers le bureau du Général Landry. Il frappa à la porte et attendit sagement qu'on lui dise d'entrer, ce qui ne tarda pas. Landry se tenait derrière le bureau légendaire, occupé entre autres pendant près de huit ans par le regretté Georges Hammond.

" Asseyez-vous, je vous prie.
- Mon Général. "

Terry prit la chaise et s'installa. Il essaya de ne pas montrer son mécontentement quant à la retraite qu'on lui proposait sous forme de mission.

" Colonel Jownes. Excellents états de service. Un peu turbulent, mais ce n'est rien à côté de ce bon vieux Jack ! Ah, vous auriez vu ça. Incapable d'obéir à un ordre celui-là, il a frôlé je ne sais pas combien de fois la cour martiale. Enfin bref, nous ne sommes pas là pour parler de lui. Vous savez pourquoi on vous a fait venir ici, n'est-ce pas ?
- Pour commander une mission d'exploration, mon Général. Si je puis me permettre, je préférerais de loin commander une équipe SG.
- Oh, tout les postes sont pris, et leur utilité décline avec le temps. Non, croyez-moi, vous seriez beaucoup là où je veux vous emmener. "

Landry tendit un dossier au Colonel. Il le lui lit en même temps que Terry le découvrait.

" B3A-785. Une planète désertique qui était autrefois un avant poste ancien. Un de mes équipes y a trouvé une tablette avec huit symboles dessinés dessus.
- Huit, vous dîtes ? Ça veut dire que...
- Que cette adresse mène vers une autre galaxie, c'est exact. Nous avons envoyé une sonde sur place, et voilà ce que nous avons trouvé. "

La photo montrait l'intérieur d'un bâtiment dont l'architecture est typique des Anciens. La Porte semblait être au bas d'une salle de contrôle qui ressemblait trait pour trait à...

" Une nouvelle Atlantis !
- Tout à fait. Je veux que vous preniez la tête de l'équipe qui s'installera là-bas. Vous aurez toute une galaxie à explorer. Ça ne vous intéresse toujours pas ?
- Hé bien...
- Si vous hésitez encore, sachez que vous serez promu au grade de Brigadier-Général, si vous acceptez ce poste. "

Terry se leva et fit le salut militaire.

" Je n'hésitais pas, mon Général. J'accepte avec plaisir. "

Deux heures plus tard, une équipe composée de militaires, et de scientifiques venant de toutes les spécialités était sur le point de partir. Les chevrons s'enclenchaient les uns après les autres, jusqu'au huitième, et la Porte des Étoiles s'ouvrit vers la Galaxie de Phœnix.

" Très bien, tout le monde, écoutez-moi. Les militaires passent d'abord. Vous sécurisez la zone aussi vite que possible. Les civils ensuite. Vous me mettrez le courant en arrivant. On verra là-bas pour la suite. Tout le monde en place ! "

Le voyage ne dura pas plus d'un dixième de seconde. L'aventure commençait...

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[PNJ]Lors de l'arrivée des Humains sur la cité, l'un d'eux a accidentellement déclenché un système de réveil. Les uns après les autres, dans un ordre qui semblait dénué de sens et sans logique, des capsules de stases libèrent leurs invités bloqués ici depuis on ne sait combien de temps...[/PNJ]

Au plus profond de la Cité, des modules de stases se mirent à réanimer leurs occupants. Lentement, un par un, des Anciens reprenaient consciences. Parmi ses Anciens, il y avait Byzas. Byzas le Grand, Byzas la Magnifique ! Jadis, il était le chef de cette Cité légendaire qu’est Utopos. Aujourd’hui, il allait reprendre son poste.

Ce brave Byzas, malgré son intelligence supérieure, avait mit un certains temps à comprendre ce qu’il se passait ici. La surprise de ne plus être en hibernation laissa place à la joie d’avoir enfin reçu de l’aide : les modules de stases étaient conçus pour réanimer leurs occupants dès que des personnes possédant le gène des Anciens poseraient de nouveau un pied sur la Cité.

Mais le doute se forma peu à peu dans l’esprit de Byzas en voyant la date sur l’un des modules. L’aide, si c’était bien une aide, était très en avance sur toute les prévisions, même les plus optimistes. Mais, c’était forcément des Anciens sinon comment les caissons de survies auraient-ils réanimés tout le monde ?

Byzas voulait en avoir le cœur net : il s’approcha d’une console de contrôle et vérifia les signes de vie dans la Cité. Tous les points lumineux qui n’étaient pas dans la même pièce que Byzas étaient encore dans la salle d’embarquement. La majorité des « sauveurs » avait visiblement le gène des Anciens mais d’autres ne l’avaient pas. Que pouvait donc bien signifier tout ceci ?
Il fallait dissiper ce doute qui croissait en lui jusqu’à obnubiler toutes les pensées de ce pauvre Byzas.

Heureusement, avant la mise en stase, il avait tout prévu : des armes lantiennes avaient été rangé dans la pièce pour parer à toute éventualité et il avait peut-être bien fait de prendre cette précaution, même si à l’époque, il y a plus de 5'000 ans, on l’avait traité de fou et de paranoïaque, en disant qu’un invasion de la Cité était impossible.

Byzas prit donc une arme et en donna une à chacune des personnes qui s’étaient déjà remises de la réanimation brutale et il forma trois petits groupes de cinq personnes, c’était tous ce qu’il avait pour l’instant. Mais il avait par contre un avantage non négligeable : c’était SA Cité et il la connaissait comme le fond de sa poche, enfin, manière de parler, en réalité il connaissait mieux la Cité que sa poche.

Les trois groupes devaient se disperser et garder le contact entre eux. Deux groupes devraient empêcher les nouveaux arrivants de se rependre de trop dans la Cité en se postant à quelques points stratégiques, comme des couloirs ou des entrées de téléporteurs, et en tirant à vue sans sommation pour paralyser toute personne cherchant à pousser trop loin ses explorations.
De plus, être placer près d’un téléporteur était très pratique au cas où les choses tourneraient mal et qu’il faille battre en retraite.

Le groupe de Byzas, quand à lui, devait trouver un moyen de paralyser rapidement tous les ennemis, qui étaient pour l’instant bien supérieurs en nombres aux Utopiens. La salle de contrôle principale étant trop proche de la salle d’embarquement, celle-ci devait déjà être sous le contrôle des arrivants. Byzas décida donc de se diriger avec son groupe en direction de la salle de contrôle secondaire, puis, de là, dériver toutes les commandes de la Cité vers celle-ci et ainsi fermer toutes les issues de la ville.

La mission pouvait réussir. Non ! Elle devait réussir ! Qu’adviendrait-il des Lantiens si leur Cité, l’endroit où ils ont vécu depuis toujours, tombait entre des mains ennemies, et peut-être même mal intentionnées ? Qu’adviendrait-il de la galaxie de Phoenix toute entière ?

Les trois groupes de Lantiens se mirent donc en route d’un pas rapide, espérant qu’ils recevraient rapidement des renforts de la part de ceux qui étaient actuellement encore en train de se réveiller d’un sommeil plusieurs fois millénaire.

Genji se réveilla doucement. Il avait l'impression de n'avoir dormi que quelques secondes mais la date qui s'afficha dans son module de stase le détrompa rapidement.

Il sortit de son caisson et vu que d'autres s'était réveillé avec lui notamment Byzas Staúros chef de la cité d'Utopos. Il le vit sortir les armes qu'il avait rangé avant leur congélation dans ces modules et en pris une lorsqu'il la lui tendit il n'était peut être pas aussi fou que tout le monde le penser.

Il écouta silencieusement les instructions de Byzas puis regarda les donné de la console qu'avait activé ce dernier et s'intégra au groupe du chef de la cité son arme à la main près à le suivre.

Le départ ne fit pas attendre ils prirent les couloirs et compris rapidement l'idée de son chef se prémunir des arrivants ne serait-ce qu'au cas où ils ne seraient pas amical. Puis il s'approcha de Byzas et dit.

"Monsieur nous sommes à vos ordres avez-vous des consignes particulière ? hormis sécuriser la cité ?"

La quinzaine de Lantiens marchaient déjà depuis un petit moment lorsqu’un des groupes partit soudain dans un autre couloir, pour prendre leur position.

Tout en continuant de marcher à pas rapide dans ce dédale labyrinthique de couloirs, Byzas répondit à Genji d’un ton légèrement hautain et méprisant, comme il avait l’habitude de faire lorsqu’il était légèrement énervé.

-Pensez-vous qu’il y a des choses plus urgentes à faire que de sécuriser la Cité mon cher ? Ne laissant même pas le temps à Genji de répondre il enchaîna. Moi en tout cas, je n’en vois pas. Il y a des femmes et des enfants ici qui ne se sont pas encore totalement remis de leurs hibernations, que feront ces nouveaux arrivants s’ils tombaient sur eux ? Peut-être rien, effectivement, mais dans le cas contraire… Il laissa planer un silence explicite. Le second groupe partit à son tour dans un autre couloir. En tout cas, nous ne perdons rien à empêcher les Arrivants de circuler dans notre Cité.

Byzas s’arrêta soudain : ils étaient enfin devant l’entrée de la salle de contrôle auxiliaire. Byzas ouvrit prestement la porte, laissa entrer les quatres Lantiens qui l’accompagnaient puis entra à son tour et verrouilla la porte de l’intérieur.

-Bon. Au boulot maintenant. Que tout le monde ce mettent au travail. Il faut rediriger toutes les commandes de la Cité jusqu’ici.

Il s’approcha ensuite de l’écran central et l’alluma : une carte de la cité s’afficha. On pouvait y voir les différentes formes de vie dans la cité : en or on trouvait les Lantiens, et en rouge on voyait les personnes qui étaient arrivés par la Porte des Etoiles : heureusement pour les Lantiens, les Arrivants n’avaient pas encore trop bougé de leurs positions initiales, certainement car ils étaient bien trop ébahis par la beauté d’Utopos, comme Byzas les comprenait

Mais il n’eu pas le temps de laisser vagabonder son esprit : il y avait fort à faire pour sauver Utopos et il se mit donc immédiatement au travail.

Genji arriva avec Byzas et les autres lantiens dans la salle de contrôle auxiliaire et se mit au travail sans prendre le temps de répondre à son supérieur puis annonça

"Je transfère l'intégralité des commandes de la porte des étoiles et du bouclier vers cette salle"

Il commença le transfère et regarda l'écran que Byzas avait affiché ils ne bougeait pas de la salle d'embarquement mais pourquoi ?

Terry n'était jamais allé sur Atlantis. Il n'en avait vu que des photos. Néanmoins, il connaissait le plan d'Atlantis par cœur, et si on se fiait à ce qu'avait envoyé la sonde, cette cité en était la copie conforme. Toutefois, en arrivant, il ne put s'empêcher de contempler la beauté sans égale ( enfin, façon de parler ) de cette architecture vieille de milliers d'années sûrement. Mais il se reprit rapidement.

" Très bien, messieurs. J'en veux cinq qui surveillent cette porte, et dix devant celle-là. Trois devant le téléporteur, le reste avec moi et les civils. "

Les soldats se déployèrent avec rapidité et organisation. S'il y avait quelque chose que Terry aimait par dessus tout, c'était cette chorégraphie magnifique avec laquelle ses hommes se déployaient, mieux réglée qu'une montre suisse. Il arriva devant la console principale et demanda à un informaticien de s'y placer.

" Il doit y avoir un système qui permet d'afficher les signes de vie. Je veux savoir immédiatement si on est seul ou pas. "

Un écran afficha la carte de la cité, et surprise, elle était identique à celle d'Atlantis. Mais ce n'est pas ça que remarqua d'abord le général. En effet, il n'y avait pas que des terriens...

" Écoutez-moi tout le monde, j... "

La Porte des Étoiles se ferma à ce moment.

" Composez immédiatement l'adresse de la Terre, Sergent, il faut évacuer les civils. La zone est habitée. "

Le sergent en question appuya sur les symboles correspondant, mais la porte refusa de s'enclencher. Il réessaya une deuxième fois, mais sans plus de succès. L'informaticien s'adressa alors à Terry.

" Nous n'avons pas le contrôle de la porte, Général. On dirait qu'elle est contrôlée depuis un autre endroit.
- Les autres... Ils tentent de nous empêcher de partir ? Qu'est-ce qu'il nous reste comme possibilité depuis cette console ?
- Tout le reste, pour l'instant, à l'exception du bouclier de la porte.
- On peut couper le courant d'ici ?
- Pas entièrement, ils pourraient le réenclencher aussitôt.
-Est-ce qu'on peut au moins les empêcher de prendre le contrôle ?
- Non, c'est le but de la salle secondaire. Garder le contrôle en cas d'invasion.
- Alors bloquez toutes les portes et condamnez les téleporteurs. Je veux qu'ils n'aient aucun moyen ni de nous atteindre, ni de s'organiser. Essayez de brouiller toutes les fréquences radios, gardez-moi juste une plage pour nous. "

Il ordonna ensuite aux autres civils de se cacher du mieux qu'ils pouvaient, puis donna des ordres à ses soldats.

" Prenez position, nous sommes en état de siège potentiel. Nous ne sommes pas les seuls ici. Nous ne savons rien de l'ennemi, pour l'instant, mais je vais tenter de connaître leur identité. En attendant, personne n'entre ni ne sort de cette pièce sous aucun prétexte. Je vous ordonne de tirer immédiatement sur tout contrevenant, qu'il vienne de l'extérieur ou de l'intérieur. "

Il se retourna vers la console.

" Branchez moi sur les hauts parleurs. "

// Aux personnes qui parcourent les couloirs de cette cité. Je suis le Général Terry Jownes, de la Terre. Nous sommes venus de la Voie Lactée afin d'explorer cette cité. Toutefois, nous avons relevé que vous tentez de nous empêcher de faire quoique ce soit. Je vous demande d'arrêter ceci sur le champ et de vous présenter devant la salle de contrôle, un par un et sans arme. Pour manifester votre accord, rendez-nous le contrôle de la Porte des Étoiles, nous ouvrirons alors les portes de la cité.//

Il marqua une courte pause avant de reprendre.

// Si vous deviez refuser, sachez que vous avez en face de vous des soldats très bien entrainés au combat, et que nous sommes en supériorité numérique. Nous sommes prêt à défendre notre vie s'il le faut. Fin de la communication. //

" Recomposez dans cinq minutes, Sergent. "

Genji qui voulait prendre le contrôle des portes se fit devancer par les nouveaux venu qui avait d'ailleurs pris position dans la salle d'embarquement et de contrôle de manière assez stratégiques ils semblaient connaître la disposition des salles puis soudain il entendit les communicateur de la cité et un homme se présenta.

Il était le général Terry de la Terre mais c'est impossible la Terre est une planète sous développé jamais ils n'auraient pu arriver dans cette galaxie il décida de répondre sans laisser le temps à son supérieur de le faire aux risques de se faire sanctionné

//Vous n'êtes pas des Terriens c'est une planète sous développé jamais un terriens n'auraient pu rejoindre cette cité et encore moins comprendre le fonctionnement des haut-parleurs si rapidement ! Qui nous sommes ? les propriétaires de la cité libéré les lieux avant que nous vous faisions sortir de force qui que vous soyez//

Alicia qui avait été appeler par le SGC pour participer à une expédition rejoignit le groupe en salle d'embarquement de la porte du SGC. Le Général de l'expédition prit la parole et Alicia l'écouta. Après que la porte soit ouvert les militaires passèrent la porte des étoiles pour rejoindre l'autre coté. Après quelques minutes Alicia traversa la porte avec une de ses collègue.

Après l'arriver du personnels la porte se ferma alors que les militaires voulurent renvoyer les civils vers la terre car la cité était habité. Alicia décida d'aller en salle de contrôle pour reconnecter la porte des étoiles en désobéissant à l'ordre du général. Elle sortit son ordinateur et le connecta à l'interface. Elle vit que des caissons de stase virent ouverts lors de l'arriver des humains. Alicia dit au général

"Général, Plusieurs Caissons de stases virent ouvert lors de notre arriver. J'essaie de déterminer combien ils sont précisément"

Alicia essayait de déterminer combien de caissons ce sont ouvert, mais les commandes commencèrent à ne plus répondre, elle asseyait coute que coute à réactiver les commandes de la salle de contrôles. Mais cela lui refusa.

"Général, leur salle de contrôle doit être prioritaire, ils doivent avoir une code qui bloque les systèmes de la salle de contrôle. Je suis en train de les pirater, mais sans suces.
L'un de nous, doivent perde le contrôle, Sinon cela peut avoir des conséquences, car eux ils doivent tenir leur systèmes pour ne pas être pirater "

Byzas ne prit même pas le temps de répondre aux Arrivants : ils n’en valaient pas la peine, d’autant plus que Byzas avait des choses plus importantes à faire que gaspiller son temps à papoter.

La priorité de Byzas était de bloquer et de confiner les Arrivants dans les seuls secteurs qu'ils occupaient déjà. Comme toutes les portes de la Cité avaient déjà été fermé depuis la salle de contrôle principale, il ne fut pas trop difficile pour Byzas de verrouiller définitivement celles qui menaient directement aux positions des Arrivants. Ainsi, les "Terriens" ne pourraient pas circuler trop facilement dans la Cité. Mais Byzas devait encore, avec l'aide des autres scientifiques lantiens, verrouiller les autres portes de manières concentriques autour de la salle d'embarquement. Les Lantiens devaient également réouvrir et reprendre définitivement le contrôle des portes qui leurs seraient utiles. Byzas chargea Genji de cette mission. Ainsi, Byzas devait isoler les Terriens et Genji devait ouvrir les portes aux Lantiens.

Terriens ? Il lui semblait que ce mot lui disait vaguement quelque chose, mais quoi ? Il ne savait plus. Qu’importait. L’origine des Arrivants était un détail bien mineur dans une telle situation. Il faudrait juste, quand tout cela sera terminé, qu’il pense à demander à Genji, qui avait l’air de s’y connaître à ce sujet, ce qu’était « la Terre ».

Byzas brancha les haut-parleurs et déclara, dans sa propre langue, c’est-à-dire en Ancien :
//Vous rendre le contrôle de la Porte ? Mais vous êtes fous ! Vous en profiteriez pour appeler à l’aide puis faire venir du renfort de votre monde d’origine. Vous dites être en supériorité numérique c’est-ça ? Ce n’est pas ce que je vois sur mon écran, bien au contraire. De plus, la supériorité numérique ne représente rien ici.//

Spoiler:

Invité

" ...numérique ne représente rien ici ! "

Ce furent les premiers mots qu'Atriela entendit en se réveillant de sa longue stase. Elle avait eu l'impression de n'avoir fait qu'une micro-sieste, comme lorsque vous commencez à vous endormir devant la télé, par exemple. Apparemment, quelque chose se passait dans la cité, quelque d'anormal. Il lui semblait pourtant que les modules de stase ne devaient s'ouvrir que lorsque des secours viendraient les aider. C'est ce que leur avait dit Monsieur Staùros avant qu'ils sombrent dans leur sommeil artificiel. Byzas... Cela faisait maintenant douze longues années que Dienne était mort. Douze longues années qu'elle choyait le souvenir de celui qu'elle considérait comme son meilleur ami. Peut-être même plus que ça... Et il le lui avait pris... Mais la jeune médecin avait réussi à enfouir ces mauvaises pensées qui l'accablaient. Cependant, à chaque fois qu'elle entendait la voix du dirigeant d'Utopos - dont certains disaient que jamais on n'avait trouvé plus paranoïaque dans l'univers connu, Atriela revoyait Dienne lui dire au revoir...

Atriela se mit en quête de savoir ce qu'il se passait sur la cité. Un membre de la sécurité, qui attendait que les Utopiens se réveillent, lui tendit une arme paralysante en lui expliquant qu'Utopos était envahie par des inconnus, mais que Byzas avait les choses en main.

" Une invasion ? Mais c'est horrible ! "

Son instinct de médecin prit le pas sur toutes les choses qui lui traînaient dans la tête. Heureusement, elle savait que du matériel médical était disponible dans un placard juste à côté des module. Elle s'en empara rapidement et se dirigea vers la salle de contrôle auxiliaire. Elle trouva quelqu'un pour lui expliquer la situation plus en détail, et se tourna vers Byzas.

" Monsieur, avec tout le respect que je vous dois, nous devrions peut-être discuter avec eux avant de penser à les attaquer. Ils n'ont peut-être pas de mauvaises intentions. Nous pourrions éviter de faire couler le sang ! "

Elle pensa un moment prendre les hauts-parleurs et s'adresser directement aux Terriens. Mais elle préféra attendre que le chef lui réponde. Allait-il encore prouver au reste de la galaxie qu'il est le plus paranoïaque à des années-lumières à la ronde, ou la stase lui avait-elle remis les idées en place ?

Byzas passait d’un ordinateur à un autre, tentant de coordonnées les actions des différents scientifiques qui essayaient de reprendre le contrôle total de la Cité. Il n’avait visiblement pas le temps de discuter, et voilà que quelqu’un venait justement le dérangé en plein travail. Et pour raconter des sornettes qui plus est.

Sans prendre la peine de lever les yeux de son écran, il répondit sèchement.
« Discuter, discuter. Pensez-vous seulement qu’eux veulent discuter !?! Non ! Ils essayent en ce moment même de nous empêcher de reprendre le contrôle de la cité ! Et vous parler de DISCUTER !!! » Byzas prononça ce dernier mot en criant si fort que l’on eu l’impression que les murs avaient tremblé. Il avait également relevé la tête et regardait désormais fixement Atriela.

Et, soudain, en un instant, le visage de Byzas se figea, toute expression le quitta et son regard devint vide autant que son teint livide. Il était perdu dans ses pensées, il se souvenait.
*Mais… cette fille… c’était l’amie de Dienne. Non, je dois confondre. Pourtant, ce regard… ce regard je le reconnaîtrais n’importe où. C’est le même regard que celui que la petite fille de dix ans avait eu quelques millénaires plus tôt lorsqu’on lui avait annoncé la mort de Dienne. Qu’était-il arrivé à cet enfant de dix-sept ans déjà ? Je ne me souviens plus. Maudite stase !...*

Byzas resta ainsi un moment totalement inexpressif puis, au terme de quelques minutes, réussi à articuler tant bien que mal :
« Dis…cuter. » Puis, après un nouveau silence, Byzas reprit toute sa contenance habituelle, ne laissant plus rien paraître de son malaise passé : « Allez-y. Vous avez dix minutes. » Fit-il sèchement en désignant le micro d’un geste nonchalant de la tête.

Sans rien ajouter de plus, il se retourna et se remit au travail : si les « négociations » échouaient, il devait pouvoir parer à toute éventualité.

" Très bien, vous deux, vous vous occupez de nous faire gagner le plus de temps possible avec les commandes. Sergent, vous êtes chargés de la sécurité des civils. Vous trois, prenez chacun dix hommes avec vous. Vous allez prendre cette direction. "

Terry était en train d'exposer son plan à ses hommes. Si la retraite n'était pas possible, il ne restait plus qu'à attendre de mourir ou à aller combattre. Et il n'était pas du genre à se laisser mourir...

" Vérifiez vos stocks de C4. Si une porte vous bloque, ne réfléchissez pas vingt ans. Alicia, vous avez trouvé combien ils sont ? "

Il n'attendit pas la réponse et vérifia une dernière fois ses armes.

" Très bien, les gars. Canal 12. Ne tirez qu'en dernier recours, et évitez de tuer autant que possible. Bonne chance. "

Les chefs d'équipes envoyèrent alors leurs troupes comme convenu, de façon à avancer le plus vite possible et sur des axes différents. Le but final était d'arriver en salle de contrôle. Un de ceux qui étaient dans l'équipe du Général vint s'adresser à lui.

" Monsieur, cette langue, c'était de l'Ancien, non ?
- Notre priorité est d'assurer la sécurité des civils, soldat. Que ce soit contre les Goa'ulds, les Oris ou les Anciens eux-même s'il le faut. Mais ils sont vraiment les Anciens, alors tout devrait bien se passer, n'est-ce pas ? "

Le jeune soldat, à peine 18 ans, retrouva un petit sourire et hocha la tête. Ils continuèrent leur route vers l'aille Nord.

// Mon Général, il se passe quelque chose en salle d'embarquement ! //

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[PNJ]Côté Humain : Les personnes présentes dans la salle d'embarquement et la salle de contrôle voient la Porte des Étoiles commencer à tourner.

Côté Ancien, un écran de contrôle vous indique la même chose.[/PNJ]

Genji entendit une femme s'adresser directement à Byzas mais comme à son habitude il l'envoya boulet. Mais sans raison apparente il finit par lui dire qu'elle avait 10 minutes pour discuter avec les terriens.

Il ne releva même pasla situation et les laissa à leurs affaires continuant de transférer les commandes de la cité vers la salle de contrôle auxiliaire. Il lança le téléchargement des portes de la cité comme le lui avait ordonné byzas mais l'intégralité des portes était encore vérouillé bien que Byzas est bloqué les envahisseurs dans la salle d'embarquement.

Il finit par reprendre le contrôle des portes de la digue Ouest lorsque soudain s'afficha sur son écran un mot de la portes des étoiles, elle était entrain de s'activer depuis l'extérieur il en fit immédiatement part à Byzas

"Monsieur la portes est entrain de s'activer depuis l'extérieur quelqu'un arrive peut être des renforts des soit-disant terriens !"

Invité

Atriela eut énormément de mal à retenir un " Quoi ? " lorsque que Byzas l'avait autorisée à parlementer avec les étrangers. Elle ne s'y attendait vraiment pas. La stase aurait-elle eu un effet insoupçonné sur leur chef ? Il valait mieux ne pas se poser la question trop longtemps. Elle devait réfléchir immédiatement à ce qu'elle allait dire à ses gens. C'est à ce moment précis qu'elle se rappela qu'elle était médecin et pas diplomate...

* Je vais pas y arriver... Pourquoi est-ce que je n'ai pas pu me taire ? Soigner, je sais faire, pas de problème, mais parler, c'est pas mon truc... Et flûte ! *

Elle continua à soliloquer mentalement, jusqu'à ce qu'elle aperçoive que beaucoup des présents attendaient qu'elle prenne la parole. Elle ne pouvait pas se défiler.

" Heu... Je... Je ne parle pas vraiment leur... hum... leur langue... Chef. "

Elle se doutait bien que Byzas ne lui jetterai même pas un œil. Du coup, elle prit le haut-parleur et commença les négociations, en Anciens.

// Vous qui prétendez venir de la Terre, je me présente. Je suis le docteur Atriela Dilo, et j'ai été désignée pour parlementer avec vous. Nous sommes les habitants de cette cité, et vous vous êtes introduits chez nous de façon illégale. Nous ne sommes pas un peuple guerrier, nous ne chercherons pas à vous tuer si vous ne représentez pas une menace. Prouvez-nous que vous n'en êtes pas une et déposez vos armes. //

Elle s'arrête quelques secondes. Non seulement pour chercher ses mots, mais aussi pour reprendre son souffle et ses esprits. Heureusement qu'elle ne voyait pas ses interlocuteurs car elle n'aurait pas pu alors aligner plus de deux mots sans ciller.

// Sachez seulement que cette cité contient un peuple entier, femmes et enfants compris. Si vous n'avez qu'une once de bonté, choisissez la négociation plutôt que l'affrontement... Euh... Comment est-ce qu'on arrête ça ? ... //

Byzas vit que Genji reprenait peu à peu le contrôle des portes : la digue Ouest était de nouveau sous contrôle. Mais il également, sur son écran, que la Porte des Etoiles s’activait. Il lança à Genji.

« Activez le bouclier ! Nous n’avons aucune chance de savoir de qui il peut s’agir, alors restons prudents. »

Tout en donnant ses directives, Byzas s’efforçait de verrouiller toutes les portes de la tour centrale, ce à quoi il parvint enfin.

A ce moment là, il se permit de respirer un instant. Mais ce court instant de repos fut brusquement interrompu lorsque les yeux de Byzas se posèrent sur l’écran central : les Arrivants se mettaient en marche, ils passaient à l’attaque.

Il se tourna alors vers Atriela :
« Vos dix minutes sont écoulés et vous avez visiblement échoués : les Terriens font routes vers nos positions et n’ont même pas prit la peine de vous répondre. Cela en dit long sur leurs intentions. »

Byzas prit alors le micro des mains d’Atriela, qui n’avait même pas eu le temps de l’éteindre :
//Peuple d’Utopos ! Ici Byzas qui vous parle. Je décrète en ce jour terrible l’état d’urgence. Que toutes les personnes valides, hommes ou femmes, jeunes ou vieux, prennent une arme et se tiennent prêtes. Que les tous les hommes forment des groupes de dix et se mettent à patrouiller dans les couloirs. Si des femmes veulent se joindre à ces groupes, elles en ont la possibilité. Que les autres restent où ils sont, c’est-à-dire dans la chambre principale de stase, et qu’ils se tiennent près à défendre leurs vies si toutes les autres tentatives échouaient…. Bonne chance à tous.//

Puis Byzas éteignit le micro et se tourna vers Genji et les autres scientifiques lantiens présents :
« Arrêtez de tenter de reprendre le contrôle de toutes les portes de la Cité. Notre priorité désormais et de couper le courant dans toute la Cité, hormis cette salle, et surtout, de stopper le renouvellement de l’air dans les zones occupées par les Arrivants. Allez, au travail, nous avons peu de temps. »

Byzas se remit également au travail, puis, voyant qu’Atriela ne bougeait pas, il lui dit :
« Vous ne pensez pas que vous seriez plus utile ailleurs ? »

Les choses semblaient se compliquer. Terry prit sa radio et contacta la salle de contrôle.

// Qu'est-ce qu'il se passe ? À vous. //
// Mon général, la porte est en train de s'activer, on a un visiteur. //
// C'est pas le moment ! Mettez la clé sur la serrure ! //

Un silence s'installa l'espace d'une seconde, sûrement le temps que l'interlocuteur du général comprenne la métaphore.

// On n'a pas le contrôle du bouclier, Monsieur. //

Ce fut au tour de Terry de faire une petite pause.

// Très bien, dégagez la place immédiatement. Laissez un commando de marines qui soit prêt à faire feu à la moindre menace. Jownes, terminé. //

C'est à ce moment qu'une voix de femme s'éleva dans les hauts-parleurs de la cité. Elle parla en langage ancien, que Terry parlait un peu. En tout cas assez pour comprendre l'essentiel du message. Avant qu'il ne puisse réfléchir à une réponse, une autre communication lui arriva.

// Ici le général Landry de la Terre. Général Jownes, si vous m'entendez, répondez. //
// Ici Jownes, on est dans la mouise ici. Y'avait des œufs dans le nid. On n'a plus aucun contrôle sur la cité. //
// Terry, écoutez-moi. Des explosions viennent de se produire sur une grande partie de la planète... D'après nos experts, il s'agirait des centrales nucléaires de toutes les nations. Tout repli sur la Terre est définitivement impossible... Au revoir, et que Dieu vous g... //
// Général Landry ? Général ? //
// Mon général, la Porte s'est refermée. On a... on a détecté un pic de radiation juste avant la coupure...//

Terry lâcha sa radio. Il se tenait immobile, les yeux dans le vide. Les soldats qui l'accompagnaient avaient la même réaction. La Terre n'était plus... Et comme si ça ne suffisait pas, un autre message dans les hauts-parleurs indiqua l'entrée en action des Utopiens. Il fallait se reprendre. Et vite. Le général respira un grand coup et ramassa sa radio.

// Ici Jownes. À toutes les troupes, déposez vos armes et ne résistez pas. Je répète : déposez vos armes. Salle de contrôle, je veux que vous envoyiez un message par les hauts-parleur. Début du message : Message du commandant des forces terriennes. Nous déposons les armes et nous nous rendons sans conditions. Nous ne voulons pas d'effusion de sang nous non plus. Fin du message, traduisez-le en Ancien... Jownes, terminé... //

Genji obéit à Byzas sans attendre et leva le bouclier de la porte empêchant qui que ce soit de la traversé. Il capta une communication radio émanant de la porte mais n'eut pas le temps de la comprendre du à des interférences.

"Monsieur le bouclier est lever mais une communication est en cours...... elle vient de s'achever mais je n'ai pas eu le temps de la comprendre !"

Puis Byzas finit par ordonner la mise à mort des arrivants en coupant l'énergie puis empêcher le renouvellement de l'air dans les zones hors de notre contrôle immédiat.

[i]Il se mit donc au travail immédiatement lorsque les soit disant terriens prirent contact après l'ordre de Byzas il en fit part à son supérieur

"Monsieur les terriens serait entrain de déposer les armes ils ne veulent pas d'effusions de sang ils ont peut être compris qu'ils n'avaient aucune chance face à nous !"

Byzas, pencher sur sa console de contrôle, leva lentement la tête vers Genji et lui demanda.

"Vous comprenez leur langue? Depuis quand?"

Puis, se désintéressant soudain de la question il se frotta les mains : cette victoire contre l'envahisseur le conforterait dans sa position de chef de la Cité.

"Bon, et bien s'ils se rendent, allons voir ce qu'ils nous veulent."

Byzas se dirigea vers la porte de sortie lorsqu'il s'arrêta brusquement dans son mouvement : *Et si c'était un piège?* Songea-t-il. * Ah! On ne m'aura pas comme ça.*

Il fit volte-face et se dirigea vers un petit piédestal circulaire qui avait été négligé jusque là, si bien que les autres ne le remarquèrent qu'à cet instant.
Byzas monta sur le piédestal et une lumière l'éclaira aussitôt par le bas.

Au même moment, un hologramme à l'effigie de Byzas apparut au centre de la salle d'embarquement. L'hologramme parla, enfin, nous devrions plutôt dire que des paroles prononcées en lantien semblaient émaner de l'hologramme.

"Je veux parler à votre chef!" Se contenta-t-il de dire.

Puis, l'hologramme répéta les mêmes paroles mais cette fois en langage terrien.

Comment ce faisait-il que l'hologramme de Byzas parlait la langue des Arrivants? C'était là un autre miracle de la technologie : la Cité enregistrait tout, y comprit les paroles des humains, et avait réussi à trouver d'elle-même comment fonctionnait la langue terrienne, du moins pour les structures grammaticales les moins complexes, et à partir de là, elle traduisait dans les deux sens.

Terry était retourné en salle de commande. Il était prêt à calmer les têtes brulées qui auraient refuser d'obéir en préférant mourir au combat plutôt que de se rendre. Mais il n'eut pas à le faire. En effet, les visages qu'il put voir en disaient long. Ils avaient tous entendu le dernier message radio de Landry... Le dernier message radio jamais émis par la Terre...Ils avaient compris eux aussi qu'ils étaient les derniers représentants de la race humaine... Puis vint la colère. Certains civils se mirent à hurler des paroles inintelligibles tandis que d'autres se mirent à pleurer. C'est ce moment que choisit la personne que Terry aimait le moins pour se manifester.

" Général Jownes, j'exige que vous nous sortiez de cette situation au plus vite. C'est un ordre de la CIS. "

Terry tenta de garder son calme autant que possible, mais il se demandera toujours s'il y était vraiment arrivé...

" La CIS ? Quelle CIS ? Mademoiselle Wagner, est-ce vous vous rendez compte de la situation dans laquelle on est ? Il n'y a plus de CIS, il n'y a plus de Terre ! Il n'y a plus que nous ! Alors retournez vous asseoir et priez pour que les types en face soient vraiment des Anciens et qu'il ne leur prenne pas l'envie de nous exécuter ! "

Soudain, un hologramme apparut et un être à l'air aussi antipathique qu'arrogant s'adressa à eux dans leur langue. Il demanda le chef, Terry se dirigea donc devant lui.

" Je suis Terry Jownes, et je suis le dirigeant de ces hommes et femmes. "

[HRP]Byzas, le message de reddition devait être transmis en Ancien, j'ai oublié de préciser :p[/HRP]

Dave était arrivé sur la cité, ébahis par la beauté de l'architecture, lui qui n'avait jamais pu poser les pieds sur Atlantis. Il était rapidement allé vers le téléporteur dès qu'il eut repris ses esprits, suivant les ordres. Il avait tout entendu, le dialogue entre le général Jownes et un ancien. Puis une ancienne qui parlait, mais il ne comprenait pas leur langue, pendant sa formation au SG-C, il n'avait eu que deux mois pour apprendre les bases de la langue ancienne, mais il était incapable de comprendre ce que les anciens avaient dit. Tout ce qu'il avait compris, c'est que les anciens avaient repris le contrôle de leur cité, et que les humains étaient bloqués dans la salle de contrôle. Puis la porte s'était réactivé, et ce qu'il avait entendu l'avait bouleversé, la Terre, elle n'existait plus, ou n'existerait bientôt plus. Les deux hommes qui avec lui gardaient le téléporteur, s'était pratiquement écroulés. Le capitaine avait peut être été choqué, mais il n'avait perdu aucun être cher, du moins, il les avait tous déja perdu, contrairement aux hommes qui se tenaient la avec lui. Serrant toujours son fusil de précision dans les mains, il l'avait ensuite déposé délicatement sur le sol, une fois l'ordre donné, de peur d'abimer la lunette s'il le laissait tomber.Il était retourné au milieu de la salle de contrôle. Une femme avait demandé au nom de la CIS que le général règle le problème. Dave allait lui répondre qu'elle n'avait plus aucune autorité, mais le général s'en chargea. Le capitaine était surpris de la violence des paroles du général et allait lui demander d'éviter ce genre de phrases pour que les hommes gardent un minimum de moral, lorsqu'un hologramme apparut demandant le chef. Il avait été surpris par son apparition, n'ayant encore jamais été confronté a de la technologie extraterrestre.

Invité

Atriela avait terminé son message. Il n'y avait plus qu'à attendre que les Humains répondent. Favorablement, de préférence. Genji les prévint alors qu'une communication avait eu lieu entre les "envahisseurs" et ceux qui avaient ouvert la porte. Elle pensa alors qu'ils allaient leur donner l'ordre de prendre le contrôle de la cité sans laisser de place à la discussion. Byzas sembla penser à la même chose, car il ordonna de tuer les Humains.

* Pourquoi tant de violence... *

Une larme perla au coin de son œil. Mais quelque chose d'inattendu se passa. Ils se rendaient ! Ils déposaient les armes ! En plus de ça, ils avaient eu la classe de dire tout ça dans la langue altérane. Elle se tourna alors vers le chef des Utopiens.

" Monsieur... "

Elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase, il se dirigeait déjà vers le communicateur holographique et s'adressa aux Humains.

* J'espère que ça va bien se passer... *

Atriela laissa Byzas mener la discussion. D'autres hommes et femmes se réveillaient de leur long sommeil, et certains n'avaient peut-être pas supporté la stase. Son devoir de médecin lui disait d'aller les aider autant que possible. Elle ramassa ses affaires et partit distribuer médicaments, soins et réconfort.

Genji regarda Byzas qui l'interrogea brièvement sur la langue des terriens chose qu'il avait apprise en parcourant les base de donné sur les peuple crée par les anciens notamment les terriens qui était une vision rétrospectives de leur espèce, mais il vit que Byzas se désintéressa soudain de sa question comme à son habitude toujours entrain de parler dans le vide celui la mais il décida de répondre quand même à Byzas qui s'était déjà dirigé vers le communicateur holographique.

"Je connais leur langue simplement car je connais beaucoup de choses sur les peuples que nous avons implanté dans l'univers"

Puis il se tut et écouta byzas et le terrien qui venait tout juste de lui répondre.

Messages : 5 Réputation : 0 Date d'inscription : 23/11/2010

Pendant ce temps, de l'autre côté de la cité.

" Chef, vous êtes sûr que c'est par là ? "

Une des équipes terriennes s'était séparée en deux groupes de cinq. Seulement, la radio du chef de ce groupe là ne fonctionnait plus...

" On avance et on se tait, caporal. Bon sang, qu'est-ce que je fous là... Je suis mécano, moi, pas un marines...
- Chef, la porte est bloquée. "

Le sergent-chef Spencer sortit un bloc de C4. À ce moment-là, une voix se fit entendre dans les hauts-parleurs. Mais c'étaient de l'Ancien, et aucun d'entre eux ne le parlait. Sans se poser plus de question, Spencer ordonna à ses hommes de se mettre à l'abri.

" Attention, trois... deux... un ... "

L'explosion qui suivit retentit dans une bonne partie de la cité. Les soldats se dirigèrent vers l'entrée qu'ils venaient de se faire. Ce qu'il ignoraient, c'est que quelque chose était enfermé là-dedans...

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